Le nerf vagal est relié à de très nombreux organes et muscles appartenant au système respiratoire, cardiaque et digestif notamment. C’est le plus long des nerfs crâniens : il s’étend du tronc cérébral jusqu’au système digestif en passant par tous les organes viscéraux, d’où son nom dérivé du mot latin errant, vagabond. Certaines personnes souffrent par exemple du syndrome du malaise vagal. Lorsqu’elles sont surexcitées, montrent trop d’effusion ou ont peur, le nerf vague les induit à une perte de conscience : elles s’évanouissent.
Le nerf vague régule aussi la digestion, supervise que le cœur ne s’excite pas en excès. Il s’agit du dixième nerf crânien reconnu comme étant l’un des plus intéressants à étudier.
Dans l’article, l’auteur décrit l’expérience d’une femme qui souffrait d’une grave arthrite rhumatoïde handicapante et le traitement qu’elle envisageait à l’aide d’un dispositif qui réduit au minimum l’inflammation en stimulant simplement le nerf vague. Mais un nerf vague qui reçoit des messages d’inflammation récurrents sur une longue période va perdre progressivement cette capacité. Il est responsable de la transmission de messages entre le cerveau et l’estomac, qui se contracte quand on mange afin de faciliter la digestion des aliments.
C’est le nerf vague qui permet la communication entre nos deux cerveaux, et donc certains effets du microbiote. C’est aussi lui qui explique les effets des techniques corps-esprit. Voici faits à découvrir sur ce nerf méconnu, clé essentielle d’une bonne santé. Il régule la fatigue et permet de mieux répondre au stress. Des exercices toute simples permettraient de le stimuler et nous.
Ainsi si l’Atlas n’est pas positionnée de façon correcte, le nerf vague est le premier à en pâtir, provoquant les classiques symptômes de compression vagale.
La raison en est la stimulation du nerf vagal encore appelé pneumogastrique. Les nerfs crâniens sont les nerfs qui émergent directement du tronc cérébral (par opposition aux nerfs spinaux qui émergent de la moelle épinière). Les mammifères en possèdent paires, comme les oiseaux et les espèces appartenant au groupe paraphylétique des reptiles. Ce nerf crânien n’en finit pas de surprendre le corps médical.
Il transporte sur un large territoire (d’où son nom) des informations motrices, sensitives et sensorielles, et joue un rôle majeur dans le bon fonctionnement de notre organisme. Stimuler le nerf vague par une électrode pourrait permettre de lutter contre plusieurs pathologies, dont la maladie de Crohn. Ce dernier est relié à de nombreux organes et muscles faisant parti du système respiratoire, cardiaque et digestif. Qu’est-ce que le nerf vague ? Tout d’abor le nerf vague est le nerf le plus long du corps qui provient du cerveau et qui est le dixième nerf crânien, descendant le long du cou et passant ensuite autour du système digestif, le foie, la rate, le pancréas, le cœur et les poumons. Plus long nerf du corps, le nerf vague est au cœur de la communication entre le cerveau et nos organes internes.
Le stimuler serait bénéfique pour notre santé, notamment pour lutter contre l’inflammation. C’est un nerf qui est très long et qui couvre une grande partie du corps humain. Ce nerf est un acteur majeur du système nerveux parasympathique, qui est la partie repos et digestion (opposée au système nerveux sympathique qui est le combat ou fuite). Le nerf pneumogastrique est un nerf répondant à plusieurs appellations : nerf vague , nerf vagal ou nerf parasympathique. Comment traiter un nerf coincé.
Il peut aussi vous empêcher de vaquer à vos activités quotidiennes. La stimulation du nerf vague à l’aide d’impulsions électriques peut se montrer très efficace dans le traitement de l’épilepsie. Les résultats peuvent être immédiats et les patients ressentent un intense soulagement dans la maladie.
La suractivité des nerfs pneumogastriques entraîne une augmentation de la sécrétion gastrique. Certains ulcères gastriques ou duodénaux, rebelles au traitement médical ou avec complications, sont traités par vagotomie (intervention chirurgicale consistant à sectionner les fibres des nerfs pneumogastriques). Le recours à un stimulateur nerf vague est recommandé dans des cas précis tels que des idées suicidaires importante, une dépression psychotique ou résistante , La catatonie, une intolérance répéter aux médicaments, un état physique qui se détériore rapidement, pendant une grossesse ou à la demande du patient. Aucune indication thérapeutique, aucune posologie et aucune notice ne sont attribuées aux médicaments homéopathiques à nom commun. Habituellement, la stimulation du nerf vague passe par une opération chirurgicale et l’installation d’un appareil similaire à un pacemaker (électro-stimulation).
Bien que cela soit efficace, la procédure comporte des risques et il est préférable d’essayer d’abord de stimuler le nerf vague sans chirurgie.
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