jeudi 15 août 2019

Inflammation vulve

Cette zone fragile peut être sujette à différentes inflammations et infections. Voici les principales maladies de la vulve , leurs symptômes, leurs causes et les traitements pour les soigner. Dans certains cas, une inflammation du vagin, ou vaginite, est également associée. Le traitement est adapté en fonction de la cause.


Explications avec le Dr Christelle Besnard-Charvet, gynécologue.

Les vaginites peuvent être d’origine infectieuse ou irritative. A noter : le vagin est protégé de la pullulation de la plupart des germes pathogènes par son acidité naturelle. Cette acidité est en rapport avec la richesse du vagin en. Ce problème est généralement dû à une infection bactérienne, fongique ou parasitaire ou bien a une réaction allergique aux savons, tampons ou serviettes hygiéniques.


L’inflammation de la vulve peut être présente sans raison apparente ou il peut s’agir d’une sensation de brûlure après avoir fait l’amour (parfois plusieurs heures après) Il peut s’agir d’une douleur au niveau des lèvres (petites ou grandes). Pour certains, diminuer l’inflammation devient une nécessité. Elle protège l’entrée du vagin.


Située en bas de l’abdomen, entre le pubis et l’anus, elle possède une forme ovoïde et se divise en deux lèvres.

Et d’un point de vue physiologique, la vulve sert à la miction, à l’accouchement ainsi qu’aux rapports sexuels. Les spermicides, les douches vaginales, les détergents, les adoucisseurs de tissu et les condoms en latex peuvent tous irriter la paroi vaginale. Il faut absolument (et rapidement) consulter un médecin si l’on ressent de tels symptômes. La vulve est composée de grandes et de petites lèvres. Cette forme d’ inflammation du follicule pileux est souvent causée par un poil incarné, et sera donc non-infectieuse, ou par la bactérie staphylocoque doré.


Les folliculites peuvent être soignées, après en avoir détecté la cause. Par exemple, s’ils sont causés par la pousse de poils sous la peau, il est important de changer sa. L’ inflammation chronique de la peau, lorsqu’elle n’est pas traitée, entraîne des modifications de l’aspect de la vulve qui peuvent être à l’origine de rapports sexuels plus difficiles et douloureux et parfois de complications infectieuses locales.


La vulvodynie est une douleur à la vulve qui a la particularité de ne pas présenter de lésion apparente contrairement à d’autres maladies où la vulve peut être le siège d’une infection, d’une inflammation ou d’une tumeur. Le prurit vulvaire est caractérisé par des démangeaisons au niveau de la vulve. Les rapports sexuels devien­nent douloureux.


Les causes les plus fréquentes sont les suivantes : Trichomonase. Des mots pour les maux. La vaginite est une inflammation du vagin qui peut être d’origine infectieuse ou simplement irritative.


La dyspareunie se caractérise par des douleurs. Si certains aliments sont donc à éviter pour réduire les inflammations , voir même à bannir, d’autres sont à privilégier pour réduire les symptômes de l’ inflammation.

D’ailleurs, les régimes mis en place par certains nutritionnistes et professionnels de la santé fleurissent depuis quelques années dans le but d’endiguer ce. Vulvovaginite due au diabète : l’in­flammation de la vulve et du vagin chez la femme diabétique se caractérise par des démangeaisons. Traitement sympto­matique parallèlement au traitement de la maladie causale. Dans de nombreux cas, l’inflammation du vagin est due à des infections causées par différents microorganismes, qu’il s’agisse de bactéries, de champignons, de parasites ou de virus. Inflammation de la vulve à la suite d’infections.


Ces signes peuvent annoncer des maladies de la vulve (infection ou inflammation de la vulve , un prurit vulvaire ou un herpès vulvaire) ou encore une mycose vaginale. Changement de la couleur des urines : La couleur normale de l’urine est jaune claire, mais suite à différents facteurs elle peut être plus foncée ou transparente. La vaginite (inflammation du vagin).


L’inflammation décrit l’ensemble des réactions générées par l’organisme pour répondre aux agressions comme les infections, les brûlures, les pathologies auto-immunes et les blessures. Agissant comme défense immunitaire, ce phénomène se caractérise par des rougeurs, de la douleur ressentie par à-coup, un gonflement ou un oedème, une sensation de chaleur et parfois même une incapacité fonctionnelle de la zone touchée.

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