Cauchemars et terreurs nocturnes : à ne pas confondre. Vous avez forcément déjà fait des cauchemars. Mais saviez-vous que votre nourrisson pouvait en faire également ? En effet, de nombreux enfants peuvent faire des rêves terrifiants, ou pire, souffrir de terreurs nocturnes.
Ce n’est pas un moment très agréable, et il va falloir aider bébé à surmonter cela.
Nous allons répondre à plusieurs questions, dans. Toutefois, s’ils sont trop fréquents, très intenses, ou s’ils durent plusieurs semaines ou plusieurs mois, il est préférable de consulter un médecin. Consultez également un professionnel de la santé si votre enfant est encore fatigué après sa nuit de sommeil et que ce problème persiste.
Comme les rêves, les cauchemars sont indispensables pour grandir et évoluer. Ensuite, leur fréquence diminue. Les spécialistes ne savent pas si les enfants de moins de deux ans peuvent avoir des cauchemars, ceux-ci étant le plus souvent observés en âge préscolaire (vers quatre ans).
Ces événements qui viennent troubler le sommeil de l’enfant peuvent être de différentes natures : terreurs nocturnes ou cauchemars , somnambulisme, énurésie.
L’enfant peut aussi grincer des dents (le bruxisme) ou parler en dormant (la somniloquie). Bien que différents, les terreurs nocturnes et cauchemars ont une incidence forte sur la qualité du sommeil. Les conséquences de cauchemars. Le cauchemar est aussi le signe que l’enfant grandit, évolue. Il connaît des phases où les mauvais rêves sont plus nombreux, traduisant une anxiété ou un passage difficile de sa journée, lors duquel il a subi une émotion de peur ou d’inconfort.
C’est l’inconscient qui en est à l’origine. Le Dr Valentin précise dans son livre que les cauchemars expriment nos émotions, souvent celles vécues dans la journée même. Ils ont lieu pendant la phase de sommeil paradoxal (celle qui fait suite au sommeil lent) et peuvent durer plus de dix minutes. Un rituel du coucher qui s’éternise, une peur du noir qui les empêche de s’endormir, des cauchemars qui les réveillent en pleine nuit… Tous les enfants, ou presque, sont concernés par des troubles mineurs du sommeil.
Mineurs, à condition qu’ils restent occasionnels. Car trop fréquents, ils peuvent être le signe. Des cauchemars parfois effrayants peuvent perturber le sommeil de votre enfant.
A la différence des terreurs nocturnes, il s’en souvient et cela peut se répéter plusieurs soirs de suite. Une souche : le Stramonium peut vous donner un petit coup de pouce et aider votre enfant à retrouver le sommeil des justes. Si vos cauchemars sont liés à une période de sevrage, ne baissez pas les bras et faites-vous aider par des spécialistes dans des centres ou par un médecin addictologue.
Ils pourront vous prendre en charge et tenir compte de vos cauchemars en plus de vos difficultés de sevrage. Comme la personne se souvient de son cauchemar, son interprétation peut aider une personne à pointer du doigt ou à résoudre un problème dans sa vie. Top des cauchemars récurrents… N°1) Enceinte oui, mais pas d’un enfant ! Souvent un animal (poisson, chiot…), quelquefois un objet, et parfois même un fruit ou un légume (courgette, banane…). N°2) Un accouchement rapide et cocasse ! Le somnambulisme, les cauchemars et les terreurs nocturnes chez l’enfant Le contenu de cet article est extrait du livre Aider mon enfant à mieux dormir , de Brigitte Langevin. Formatrice, conférencière et coach pour l’apprentissage du sommeil des enfants.
Auteur de plusieurs livres à succès sur les sommeil des enfants et des adultes, aux Éditions de Mortagne. Avoir un cauchemar tous les trois mois se trouve dans le rang des choses que l’on peut considérer normales. Dans ce cas, chaque cauchemar a un contenu différent des autres.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.